L'enfant qui meurt n'a pas de pays
L'enfant qui meurt
n'a pas de pays
son pays c'est son enfance et son chemin la vie
chaque enfant qui meurt est un fleuve asséché
une terre perdue
un pont qui s'est brisé
qui venu du passé
s'écroule brusquement
au seuil de l'avenir
L’enfant qui meurt
n’a pas de pays
son pays c'était la vie.
Marília Gonçalves
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