Mes yeux s’en vont au loin
Et cherchent dans le feuillage
Un abri ou un nuage
Qui ait le dessin de ton cœur
Mes larmes emplissent les airs
Et allongent le paysage
Immensité d’une plage
D’un océan de douleur.
Je te cherche, mais en vain
Mes yeux dessinent tes mains
Dans le contour de la vie
Mais un air venu de loin
A traversé le chemin
Ou l’espoir m’avait suivie.
L’ombre envahit la colline
Déjà le soleil s’enfuit
Ni poèmes, ni ma rime
Me donnent paix, ni oubli.
Et ma quête persévère
Un parfum de primevères
Secoue à nouveau mes sens
Si l’amour n’est que chimères
ô ma vie ! désespère
Et romps pour moi ce silence !
Marilia Gonçalves
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