Páginas

Páginas

Páginas

Páginas

sábado, 6 de janeiro de 2024

Quand le vent tournoyait

 

Que de temps est passé

Sur  la pâleur des vagues

Quand le vent tournoyait

Effaçait sur le sable

Des baisers à l’ardeur

D’un miroir sans revers

Où l’eau étincelante

Griffonne chaque vers.

 

Le temps passe pourtant

Mais le trouble   se fige

 Toujours se réduisant

Se refusant encore

Il burine le jour

 Et tel un météore

S’enfuit, luisant et beau

Ensemençant le bleu

 D’étoiles en pléiade.

Face au regard ébloui

 Qui poursuit la cascade.

 

Marilia Gonçalves

 


 

 

Sem comentários:

Enviar um comentário

O seu comentário espera moderação