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sábado, 19 de dezembro de 2009

A pátria é nos lugares onde a alma está acorrentada.
Voltaire

Bienvenidos a la isla!
La 217 resistiendo, como el pueblo hondureño, como los paises libres de PatriaGrande que alzan dignidad y coraje y ante la "gesta" que asesina el planeta dicen: no somos esclavos de las decisiones de los gerentes del mundo, decimos NO a los documentos impuestos entre gallos y medianoche, decimos que estan matando el planeta, decimos que no hay voluntad ni sensibilidad sino un interés ávido y autodestructivo por la ganancia en detrimento de la vida. Copenhague es un ejemplo más de la perversión política que los dueños de todo ejercen sobre el mundo.
La isla sobrevive, quién lo diría, y en poesía, rema y rema y rema, rumbo al alba.
En tanto se suceden desapariciones y asesinatos en Honduras, sin que el mundo se escandalize, sin que los gobiernos ricos tan preocupados por los derechos humanos y la democracia presionen para detener semejante barbarie.
En tanto el flamante premio Nobel de la Paz alaba la guerra y la sostiene, y sigue el bárbaro bloqueo contra Cuba.
En tanto los poetas hacen el pan, atizan el fuego, comparten el agua y la canción necesaria.
En la isla, que puede desaparecer si el calentamiento global derrite los polos y los glaciares y sube el nivel del mar, también levantamos la voz para decirle NO a los Shilocks del nuevo siglo y a sus secuaces de turno.
Preparamos el próximo número dedicado a sus majestades imperiales. Para tirar la bronca, para defender a nuestros hijos, para proteger la Casa, para luchar por la vida.
Un fuerte abrazo
en poesía
gabriel impaglione

A pátria é nos lugares onde a alma está acorrentada.
Voltaire


Campagne Poétique Internationale de Solidarité avec les Détenus Politiques du Mouvement Culturel Amazigh

Nous, Poètes du Monde, ayant foi dans la capacité de la poésie à changer le monde, devons, à travers nos poèmes, protester contre l’injustice, l’arbitraire et la dictature, crier haut et fort contre la répression…

Oui, nous pouvons le faire indépendamment de nos différences de religion, d’identité, de race, de langue et de culture…La poésie peut unir nos voix pour les causes humaines.

Dans un temps proche, le Poète péruvien James Osoko Anna Maria a été assassiné par le pouvoir pour avoir défendu ses principes et son peuple.

Aujourd’hui, c’est autour de deux militants amazigh -Adouch Hamid et Mustapha Oussaya- d’être arrêtés pour une accusation mensongère de meurtre, et condamnés à 12(douze) ans de prison avant que l’appel ne réduise leur peine à 10(dix)ans à passer dans les geôles de Sidi Said de Méknès.

Dans le droit marocain, le reconnu coupable de meurtre est normalement condamné à 25 ans de prison au moins, à défaut de la pérpetuité. Pourquoi cette indulgence du tribunal ? Parce que cette parodie de justice est une opération montée par le makhzen (pouvoir) marocain avec pour objectif la mise au pas du Mouvement Etudiant Amazigh au sein des Universités. Toutes les preuves-y compris la recherche ADN- démontrent que les deux étudiants Oussaya et Adouch sont innocents !

Ces deux détenus politiques appartiennent à des familles très pauvres du Sud-Est du Maroc, et leur seul tort est d’être des dirigeants du Mouvement Culturel Amazigh, un mouvement pacifiste dont les mots d’ordre sont : le rejet de la violence, la tolérance, la coexistence pacifique, le dialogue, le rationalisme, le respect de la différence, la démocratie, …

Notre initiative de solidarité avec ces détenus d’opinion et leurs familles vise à alléger leurs souffrances psychologiques et physiques par notre soutien moral.

Prière de vous associer à cette action humanitaire en écrivant un poème sur le thème : « la détention » et de l’envoyer à l’adresse électronique suivante :

Amazigh_2958@hotmail.com

NB :

1-les Poèmes seront envoyés aux détenus dans leur prison ;